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31 août 2022 3 31 /08 /août /2022 06:00

 

Le vin nature est-il le futur de l’industrie vitivinicole ? ICI

Publié: 25 août 2022,

 

 

Magalie Dubois Doctorante en Economie du vin, Burgundy School of Business

François Pariseau Auxiliaire de recherche, Université de Sherbrooke

 

Interviewés

 

Jacques Berthomeau

Fonctionnaire, consultant œnologique

 

Jean-Yves Bizot

Chef d'exploitation

Echezeaux Grand Cru Bizot (Domaine)  2008 - Lot de 1 Bouteille

 

Jérôme Siffermann

Sommelier

 

Robert Joseph

Editor at large, Meininger's Wine Business International, editor, The Wine Thinker, author

 

Remarque préliminaire à l’attention de mademoiselle Dubois : je n’ai jamais été ni fonctionnaire ni consultant œnologique. Prière de corriger : je suis un retraité licheur de vin nu.

 

 

Devoir sur table : « Le vin nature est-il l'avenir de l'industrie du vin ?  » c'est pour Magalie - Le blog de JACQUES BERTHOMEAU

À la différence des vins biologiques (certifiés par un des organismes indépendants accrédités) ou biodynamiques (certifiés par Demeter ou Biodyvin), les vins dits « nature » n’ont pas de définition unanimement acceptée par les acteurs de la filière vitivinicole française. Une telle définition n’existe pas non plus d’ailleurs à l’international. Alors de quoi parle-t-on ?

 

En France, le père spirituel du vin nature s’appelle Jules Chauvet. Né en 1907, ce chercheur à l’institut de chimie biologique de Lyon, dégustateur, et vigneron dans le Beaujolais affirmait : « Le vin, moins on le touche, mieux ça vaut ». Père spirituel, parce que si le vin nature est difficile à définir c’est qu’il s’agit avant tout d’une philosophie : s’approcher au plus près de la définition idéale du vin, qui ne serait que du jus de raisin fermenté, et rien d’autre.

 

La suite ICI.

 

Le vin nature apparaît comme l’un des futurs de l’industrie vitivinicole, car il répond à une demande des consommateurs (santé, transparence, circuits courts, respect de l’environnement) qui passe notamment par la réduction des intrants et en particulier des sulfites. Le rôle des pouvoirs publics sera déterminant dans les années à venir pour permettre d’étudier avec précision (et chiffres à l’appui) l’ampleur du phénomène. Il conviendra également de suivre l’engouement des importateurs pour les vignerons nature superstars. Il est évident que l’impact de ce mouvement sur l’industrie ne se fera pas via l’effet volumique ni via le nombre de consommateurs, mais parce qu’il constitue la pointe médiatique et incarne la direction que doit prendre l’industrie dans son ensemble pour relever les défis de demain.

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30 août 2022 2 30 /08 /août /2022 15:48

 

 
 

A bond dansela cigale et la fourmi pour provoquer le vieux M… révolutionnaire peau de lapin…

 

Barbe cul… pour Sourdine Ruisseau, la verte qui n’aime pas les Gilets Jaunes des ronds-points et les gars de la CGT et leur braséro.

 

Ce matin, le retour en mode Almanach Vermot

 

Fait un petit détour en Suisse pour blanchir le blé du vin nu, 10 mn, les douaniers roupillaient.

 

Beaucoup de Tesla et de Porsche Cayenne sur l’autoroute, faut-il les interdire les censeurs de la NUPES ?

 

Passé en bordure de la Bourgogne, ça vendange, très peu pour moi, je n’ai pas l’échine souple, suis assez fainiasse, désolé Claire, Jean-Yves, Alice&Olivier

 

Aux portes de Paris, un panneau sur fond jaune : FÊTE DE L’HUMANITÉ…

 

https://cdn.sortiraparis.com/images/80/1665/752459-la-fete-de-l-huma-2022-en-essonne-christophe-mae-benjamin-biolay-deluxe-les-nouveaux-noms.jpg

 

FABIEN a-t-il invité le guide de la NUPES, le nouveau Georges Marchais et Sourdine Ruisseau la future prix Nobel d’économie ?

 

Suspens, attendons le 11 septembre…

 

Je ne crois pas, vaut mieux cacher la poussière sous le tapis du nucléaire et de la barbaque ça sent beaucoup le graillou…

 

Je suis fou de David Bowie

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29 août 2022 1 29 /08 /août /2022 10:54

Août tire à sa fin, va falloir retourner à Paris, monter à Paris, respirer de l’hydrogène sulfuré, faire gaffe aux autos, aux motos, aux scooters, aux trottinettes, voir les feuilles mortes voleter, se dire qu’il va falloir faire ceinture sur le gaz et l’électricité, aimer aussi sans restriction.

 

Bref, continuer d’être bref, trouver des idées, fuir les folies des réseaux sociaux, aimer…

 

Je vous emb

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28 août 2022 7 28 /08 /août /2022 10:35

Le repos dominical sera respecté, ame

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27 août 2022 6 27 /08 /août /2022 06:00
Oublier Padern saison 3

Revenons à Padern, plus précisément sur la terrasse du café des Sports qui, depuis l’arrivée de Pierre Jancou est devenue le point de ralliement du village.Ces dames, dès le matin, à l’ouverture 10 h, viennent siroter un café et papoter. Sans tomber de l’hagiographie j’ose écrire que la gare de Perpignan, centre du monde, chère à Dali, est remisée au rang des reliques poussiéreuses, le café des Sports est le centre du monde des vins nu.

 

Pour déjeuner ou dîner les places sont rares, il faut réserver. Même qu’un grand ami de Pax, HB, accompagné d’une influenceuse petit bras, a dû remonter dans son gros SUV. Les tenanciers font la sieste de 15 h à 17h.

 

Dès mon arrivée, Marie-Louise et Nane se sont installées, Pax, dit super-habitué, nous a rejoint en majesté. La bière locale du Pierre désoiffe  mais le plus du café des Sports ce sont les tapas préparés avec soins et amour par la très belle Jojo. 
 

Padern c’est aussi une belle brochette de vignerons bichonnant des vins nus. Nous les avons visités. Nous avons dégusté. Nous avons échangé.

 

Nous avons aussi niaisé, les vacances quoi !

 

ps. Pour Pierre la mob pourrie c’était chez Jancou versus café des Alpes.

 

à sui

 

 

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26 août 2022 5 26 /08 /août /2022 06:00
Oublier Padern saison 2

« Depuis le début de leur liaison, trois ans plus tôt, c’est la première fois que Gaston Deferre, désobéit aussi effrontément au nouvel amour de sa vie. Edmonde et lui partagent beaucoup de passions, la poésie, la peinture, la littérature, l’opéra, le football, la politique, le pouvoir, l’ambition, mais pas la voile, en tout cas pas encore. »

 

Tel un vieil épagneul breton décati depuis que j’ai posé mon sac dans les Hautes Corbières grâce à Jean Héritier, d’abord à Cucugnan puis à Padern, je hume la trace des souvenirs d’un temps, si loin si près, cette étrange mission instiguée par Louis le Pensec : sauver le soldat VDN ! Clin d’œil au naturiste que je suis devenu : les seuls qualifiés de naturels ne le sont pas.

 

Sur la route qui mène de Paziols à Estagel lorsque nous franchissons la frontière entre l’Aude et les PO je sais que nous allons passer près du château de Jau, Bernard Dauré, Cases de Pêne, Perpignan, la Préfecture, le préfet Dartout, la salle Pams, la mairie nouveau fief d’Alliot où les Alduy Paul et Jean-Paul ont régné 50 ans. Nous poussons la porte d’une librairie et tels des Huns nous effectuons une razzia de livres. Parmi eux MAI 69 de Jean-Philippe Leclaire chez Fayard, celui que la Saporta n’a pas daignée me faire parvenir en service de presse.

 

C’est une uchronie qui place Gaston Deferre au centre d’une histoire rocambolesque dont je vous parlerai lorsque je pourrai écrire mes chroniques sur grand écran et non sur mon IPhone 

 

à sui

 

 

 

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25 août 2022 4 25 /08 /août /2022 06:00
Oublier Padern

Elles arrivaient en provenance de Marseille St Charles entassées dans un TER version décentralisée d’un métro de la RATP aux heures de la transhumance des banlieusards opprimés.

 

Dans ma superbe Twingo noire ministérielle je longeais l’imposante façade post-soviétique du Palais du peuple lorsqu’une bouffée de souvenirs me submergea : le congrès de la FNSEA de 1984 où Rocard affronta crânement la provocation de François Guillaume : prononcer son discours face à un auditoire exhibant le Midi Libre déployé. Ironie de l’Histoire finalement ce fut Rocard qui gagna la partie.

 

Bref, face à la gare de la capitale du grand Gégé trouve tout du vin languedocien je les attendais pour déposer l’une à Embres et nous à Padern.

 

Les Hautes Corbières, la coopérative de Patrick HM, le café des Sports de Pierre Jancou et de la belle Jojo, et pourtant je pensais à Edmonde Charles Roux : Oublier Palerme…

 

à suivre

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24 août 2022 3 24 /08 /août /2022 10:03
Le taulier est toujours vivant
Le taulier est toujours vivant

Chers fidèles lecteurs,

Privés depuis plusieurs matins de mes incomparables, inoubliables, chroniques, vous vous inquiétez de ma santé.

Je me porte comme un charme mais je ne puis vous abreuver, étancher votre inextinguible soif, car mon ordinateur refuse de se connecter sur Overblog.

J’en suis désolé.

Alors ce matin je reviens vers vous via mon IPhone pour vous consoler.

L’espace de liberté, tel un insoumis dopé par la résistance à l’oppression, affirme sa volonté de survie.

Commentez tels des morts de faim, des bois sans soif, épandez-vous tel un Pax privé de son shoot quotidien.

à bientôt les amis, tenez bon la Révolution est en marche, la route sera longue telle celle de Mao.

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22 août 2022 1 22 /08 /août /2022 17:36

 

 

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21 août 2022 7 21 /08 /août /2022 06:00

 

Bien sûr, on peut toujours attendre de voir un film sur son écran plat vautré dans son canapé tout en sifflant des verres de vin nu, mais pour ceux qui font les films la sortie en salle est l’acte fondateur.

 

 

Pourquoi Clara a-t-elle été brûlée vive ?

 

Ce féminicide atroce dévore de l’intérieur son enquêteur, Yohan… Un récit d’une noirceur salutaire.

 

Qui a tué Clara ?

 

Où, quand, comment, on le sait déjà : elle a été brûlée vive, une nuit, dans une rue de la région grenobloise. Alors, qui ?

 

À cette question, Yohan, l’inspecteur de la police judiciaire chargé de l’enquête, n’aura jamais de réponse. On ne divulgâche rien en écrivant que La Nuit du 12 est un thriller sans coupable. Le film lui-même l’annonce dès l’ouverture, avec un carton précisant qu’environ 20 % des enquêtes criminelles menées par la PJ en France restent irrésolues. L’histoire du film, tirée d’un fait divers, est de celles-ci.

 

C’est l’une des plus belles audaces de Dominik Moll (Harry, un ami qui vous veut du bien, Seules les bêtes) et de son coscénariste, Gilles Marchand, que d’assumer d’emblée leur film pour ce qu’il est. Non pas un polar tendu vers la résolution d’une énigme et la révélation de l’identité de l’assassin — au fil des interrogatoires de police, tous les amants de passage de Clara s’avéreront capables de l’avoir tuée — mais la recherche, sombre et tourmentée, du mobile du crime.

 

Pourquoi ?

 

Pourquoi tuer, qui plus est d’une façon aussi atroce, une jeune fille heureuse de vivre, de séduire, d’aimer ?

 

La question tourne en boucle dans le cerveau de Yohan comme lui, chaque soir, tourne en rond sur la piste du vélodrome.

 

L’horreur du féminicide ruine progressivement la santé mentale de ce chef d’équipe taciturne et rigoureux tout en le forçant à changer de prisme. Comme lors de cette scène décisive et poignante, au mitan du film : l’enquêteur interroge la meilleure amie de Clara sur les relations sexuelles de cette dernière. La réaction de la jeune fille l’ébranle profondément, l’obligeant soudain à prendre conscience des ambiguïtés de son point de vue masculin. Plus tard, c’est encore une femme, une jeune collègue cette fois, qui, en une phrase, fera vaciller d’autres certitudes. À commencer par la neutralité de sa position, celle d’un homme chargé d’arrêter d’autres hommes, coupables de violences sur des femmes.

 

Fusion du réalisme et de l’imaginaire

 

Allant bien au-delà de sa dimension de thriller psychologique, attaché à dépeindre avec une grande justesse la mécanique de l’obsession, le film dresse par petites touches le constat désespérant d’une police et d’une justice au fonctionnement constamment entravé. Faire marcher l’imprimante de la PJ ou obtenir le budget d’une mise sur écoute sont autant de micro calvaires quotidiens. Épuisants. Yohan et ses coéquipiers se retrouvent au chevet d’un service public que les coupes budgétaires successives ont rendu inapte à prendre en charge ce genre d’affaires. Dans ce système perverti, les bonnes volontés ne suffisent pas. Le manque de moyens et la surreprésentation masculine semblent se liguer pour que s’impose naturellement la conclusion suivante : si les femmes sont tuées, c’est peut-être, finalement, un peu de leur faute.

 

En s’inspirant du livre 18.3. Une année à la PJ, une enquête très documentée de la romancière Pauline Guéna, le cinéaste et son scénariste ont tablé sur la fusion du réalisme et de l’imaginaire. Et évité le piège du film à sujet. C’est précisément parce que les personnages ne sont jamais instrumentalisés ni dévitalisés que La Nuit du 12 touche aussi fort. Servi par Bastien Bouillon, enfin au premier plan, mais aussi par de magnifiques figures féminines (dont la juge, interprétée par Anouk Grinberg dans l’un de ses plus beaux rôles), le récit coule, noir et pénétrant. Suffocant mais salutaire.

 

La Nuit du 12 - film 2022 - AlloCiné

Notre critique de La Nuit du 12: l’incarnation du mâle ICI 

Par Etienne Sorin

Publié le 12/07/2022 à

 

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